Bonjour.
Voici un texte dont le but était d'expliquer et d'expliciter une conception de l'information liée à ma grande théorie de l'Univers et de la Nature. Comme vous allez le découvrir, cette démarche a mené à une toute autre chose: une découverte d'un autre aspect de cette théorie, la complétant d'une idée, d'une conception nouvelle.
Dans
ma grande théorie de la Nature et de l’Univers, qui est ma plus
grande fierté philosophique, je décris l’information comme une
pensée de la Nature, codée par des éléments de l’Univers. Par
exemple, un éclair est composé d’éléments de l’Univers
(l’énergie, la matière), et code une pensée dans la Nature.
Cette pensée peut être l’ensemble des informations (position
spatio-temporelle, intensité, etc) des éléments de l’Univers en
jeux, mais peux également être autre chose. En effet, lorsqu’on
pense, on ressent les réactions physico-chimiques de notre cerveau
comme une pensée, et pas uniquement comme un ensemble d’informations
liées à la physique de ce qu’il se passe (positions
spatio-temporelles des réactions en jeux, particules et forces en
jeux, etc). On est donc confronté à un double statut de
l’information. Afin d’être clair, j’utilise le mot pensée
dans son sens commun. Par exemple, aimer le chocolat est une pensée.
Cette pensée est codée par des réactions physico-chimiques de
l’Univers. Mais une pensée est aussi par nature une information.
Or, pour cette même pensée, il existe un autre degré
d’information : l’ensemble des caractéristiques des
réactions physico-chimiques codant la pensée. Ainsi, il semblerait
qu’une pensée soit un ensemble d’informations qu’on ressent
non-formellement, avec un autre sens. On ne perçoit pas notre pensée
comme l’ensemble des informations factuelles des réactions
physico-chimiques qu’elle code, mais ce n’est pas pour autant que
ce n’est pas la même chose. Ce double statut de l’information
peut donner deux niveaux d’existence à la Nature : celui que
j’ai décris comme ensemble des pensées codées par des éléments
de l’Univers, mais aussi l’ensemble des informations factuelles
des éléments de l’Univers. Ce deuxième niveau de la Nature est
l’intermédiaire entre l’Univers et la Nature telle que je l’ai
précédemment décrite. Des éléments tangibles de l’Univers, ont
en tire un ensemble d’informations, qui représente une pensée de
la Nature. Je ne sais pas comment nommer ce niveau d’existence
intermédiaire : Réalité ? Matrice ? L’Information ?
Le Factuel ? Est-ce même nécessaire de le nommer ? Dans
la suite, je vais l’évoquer par ce qu’il est : un niveau
d’existence intermédiaire.
En
tous cas, l’exhibition de ce niveau d’existence n’était pas le
but visé par ce texte lorsque j’ai entrepris de l’écrire !
Mon but était plutôt de m’interroger sur la symbolique, tremplin
entre l’Univers et la Nature (ou du moins l’Univers et ce nouveau
pan de l’existence que je viens de découvrir). Si je reconnais le
bon énorme dans le développement de ma théorie qu’est la
conceptualisation de ce niveau d’existence, je vais malgré tout
expliciter mon propos initial.
Pour
illustrer mon propos, je vais parler en particulier d’une
symbolique que je maîtrise (ou du moins dont j’ai des notions
solides vu que j’ai étudié cette matière au niveau
universitaire) : les Mathématiques. En effet, que représente
un symbole mathématique ? Dans toutes ses formes d’existences
(ensemble de matière pouvant être un son, une image, etc), ce
symbole n’est qu’un ensemble d’éléments de l’Univers. Comme
tout ce qui existe, ce n’est qu’une combinaison tangible de
matière et d’énergie. Ce qui le rend particulier, c’est son
sens dans la Nature. En effet, ce symbole, lorsqu’il nous atteint
(flux de photons percutant notre œil, vibration sonore parvenant à
notre oreille), provoque dans notre cerveau une réaction
physico-chimique codant une pensée : la signification de ce
symbole… Jusque là, rien d’extraordinaire. Rien de différent
avec le reste de tout ce qui existe dans l’Univers. Cependant,
c’est cette pensée, cette signification qui est intéressante. En
effet, ce symbole n’est pas intéressant en lui-même, mais l’est
par ce qu’il porte : un concept. Comme tout ce qui attrait à
la Science, un symbole mathématique porte une notion mathématique.
Si cette notion est intéressante, comme toute notion de la Science,
c’est parce qu’elle exhibe une information permettant de décrire
un élément de l’Univers. Ainsi, un symbole de l’Univers code
une pensée de la Nature qui est le langage du niveau d’existence
intermédiaire que j’ai décrit plus haut. La Science, et plus
encore les Mathématiques, décrivent ce niveau d’existence. Ce qui
est encore plus beau, c’est que cette pensée de la Nature, en lien
avec le niveau d’existence intermédiaire, n’est pas lié qu’à
une seule symbolique. Finalement, lorsqu’on touche à l’abstrait,
le support concret n’est pas unique : on comprend le même
concept lorsque j’écris 3 ou III. Deux éléments de l’Univers
décrivent la même pensée.
Un
symbole Mathématiques est magnifique en ce sens : composé
d’éléments de l’Univers, descriptible par un ensemble
d’informations du niveau d’existence intermédiaire, il code une
pensée de la Nature qui n’est autre qu’une information de ce
niveau d’existence. Ainsi, il apporte la connaissance et la
compréhension de ce niveau d’existence, là où la Nature est peu
connue (le monde des pensées est plus éloigné que le monde de
l’information). Ainsi, un symbole mathématique porte deux statuts
d’existence absolument fascinants, tissant un lien entre les
différentes composantes de la réalité. Ce symbole est à la fois
une pensée de la Nature, mais aussi une information du niveau
intermédiaire d’existence !
En
guise d’ouverture, je voulais partager une réflexion certes moins
profonde, mais illustrative. En effet, comme je l’ai souvent
expliqué, nos pensées sont codées par des réactions
physico-chimiques de notre cerveau. Ainsi, ressentons-nous vraiment
notre corps, notre pied par exemple ? Lorsque par exemple on
pique notre pied avec une aiguille, le stimulus remonte jusqu’au
cerveau où il est interprété. Ainsi, notre pensée décrivant la
sensation de cette aiguille piquant notre pied est une réaction
physico-chimique de notre cerveau (je ne suis pas expert en biologie,
je parle de chose que je pense connaître mais je n’exclue pas la
possibilité de me tromper). On a la sensation de ressentir ce
stimulus, mais la pensée est finalement enfermée dans le cerveau…
Cette pensée est l’aboutissement d’une chaîne de réaction
venant du pied, mais ce qu’on ressent est cérébral. C’est une
conception peut commune qui se résout facilement : nos pensées,
celles que nous appréhendons, ne viennent que de réactions
physico-chimiques de notre cerveau. Cependant, certaines de ces
réactions sont initiées par des réactions venant d’autres
organes. Ainsi, on ressent réellement les autres parties de notre
corps, mais à partir d’intermédiaires. A partir d’autres
réactions, et donc finalement d’autres pensées que nous ne
percevons pas.
Dans
tous les cas, cette façon de concevoir les choses est celle que
j’expérimente tout les jours. Je suis convaincu de ces
descriptions, même si parfois difficiles à mettre en mots. Mais
l’existence serait-elle aussi merveilleuse si elle était plus
simple ?
Pour
clarifier : Univers : réactions physico-chimiques,
neurones en communication par exemple
Nature :
pensée codée par ses réactions, pensée de notre cerveau
Niveau
d’existence intermédiaire : ensemble de données,
d’informations sur les éléments de l’Univers, structure
physique des neurones par exemple, comprenant les coordonnées
spatio-temporelles de ces réactions, etc
J'espère que ce texte, structuré comme un témoin de pensées prises sur le vif, vous a plu. A la semaine prochaine...
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