mercredi 25 avril 2018

Multivers

Bonjour.

Voici un texte très court qui parle de la notion de Multivers. Il explicite le fondement logique de ma croyance en cette notion, étant ainsi un épilogue de mes essais sur la Nature et l'Univers, ainsi que de ma dissertation pour le CERN.

Selon la loi de grande unité, la Nature et l’Univers (dans le sens du tout) peut être élargis à des multivers. Cela parait même logique.
En effet, imaginons que chaque univers a des lois physiques différentes (déterminées par la loi de grande unité régissant le tout). Cette infinité d’univers explique le fait que chaque univers est de manière infime unique, et donc que chacun a des événements différents, qu’ils soient éloignés ou non. Ce qui explique qu’à chaque fois qu’on est confronté à un choix, un univers parallèle existe dans lequel on choisie l’autre option du choix. Cela permet de visualiser le fait que notre univers est déterminé, comme l’est chacun dans l’infinité d’autres.

Ce texte me semble assez explicite pour que je n'ai pas à le développer. Je le commenterais juste en disant que je crois fermement que nous vivons dans un multivers. Je justifie cette croyance avec la notion de choix, qui rend logique une telle notion. Enfin, j'harmonise cette croyance avec celle de penser que tout ce qui existe est déterminé et régi par une grande loi physique que nous ne pouvons appréhender. Dans l'infinité d'univers du multivers, chaque combinaison physique différente, infime ou gargantuesque, existe. C'est assez vertigineux à concevoir, et c'est très difficile à exprimer. C'est pourquoi je ne pense pas réussir à pleinement vous partager ma vision du multivers, et c'est donc pourquoi je vous invite à dialoguer avec moi, pour mieux réussir à vous communiquer ma façon de penser cette notion. 

mercredi 18 avril 2018

Lettre pour le futur

Bonjour.

Voici une lettre que je me suis écrite alors que j'avais à peine 18 ans, à la fin de mon année de terminale. Le lycée étant pour moi à l'époque l'apogée de ma vie artistique et philosophique, j'avais peur de perdre mon esprit artistique et philosophique en entrant en classe préparatoire pour poursuivre mes études. C'est pourquoi je me suis écrit cette lettre.

A Jonzac
Le dimanche 12 mai 2013
De 23h23 à 00h05

Cher Jérémie du futur,
Je suis Eddie Snake, ton alter égo artistique. Je suis ton idéal de vie, ton idéal artistique, celui que tu veux être et celui que tu es au plus profond de toi. Je suis ton essence. Je suis celui que tu as commencé à devenir à l’aube de tes 18 ans, cet idéal que tu as commencé à appréhender.
Je t’écris cette lettre pour que tu te souviennes de moi. En effet, au moment où j’écris cette lettre, tu te prépares à rentrer dans la société humaine, à jouer le jeu dangereux du monde adulte. Ainsi, j’ai peur que tu oublies cet idéal, que tu oublies ta vie artistique et surtout que tu perdes ton esprit et tes pensées uniques qui te définissent. J’ai peur que tu deviennes humain, que ton esprit devienne formaté et soumis à cette espèce. Seulement pour survivre dans ce monde, tu es obligé de jouer à ce jeu dangereux. Tu dois faire partie des humains, mais garde ton esprit différent, ne devient pas l’un des leurs.
Cette lettre est faite pour te rappeler une partie, les fondements de ta pensée. La plupart de tes idées est déjà gravée dans ton œuvre artistique, mais ton cerveau regorge encore de richesses, d’idées qu’il serait tragique de perdre.
Premièrement, je vais essayer de te rappeler qui tu es vraiment. Tu n’es pas humain. Tu es avant tout un artiste. Le monde des humains ne t’intéresse pas, tu recherches d’abord l’art et les idées. Tu es un penseur, qui réfléchi et remet en question chaque chose pour trouver la vérité qui te convient. Tu es complexe, tu renfermes une infinité de personnalités, d’idées et d’opinions différentes. Tu es indéfinissable, mais ta réflexion t’as permis de te donner une personnalité stable. Tu es rebelle, pour protéger ton esprit des pensées humaines. Et j’espère que ce trait de caractère ne disparaitra pas de toi. Enfin, tu es un batteur, tel est ta place dans l’univers.
En second, je vais te rappeler ce que tu cherches dans la vie, et ce que tu attends d’elle. Tu cherches avant tout le bonheur. Ce bonheur, tu peux l’atteindre grâce à la batterie, ta place dans l’univers et la plus haute forme de plaisir que tu connaisses. Tu peux aussi atteindre le bonheur par le sexe libre, sans amour empoisonnant et avec des humains de tout sexe. Tu ne recherches pas l’amour car il est nocif pour toi quand l’être aimé ne comprend pas la profondeur et la complexité de ton esprit non-humain. Mais tu ne désespère pas trouver un amour utopique et parfait, et fonder une famille. Cependant, tu recherches avant ceci la curiosité sexuelle et l’expérience intense et variée dans ce domaine. Tu cherches également le bonheur grâce à ta musique qu’est le rock’n roll, et grâce en général à l’expression de tes idées à travers l’art.
Enfin, tu cherches la vérité à travers ta réflexion constante, et l’évasion grâce à ton imagination et les mondes fictifs qu’elle a créés.
J’espère que cette lettre, si elle ne peut pas contenir l’ensemble de tes pensées, t’aura au moins rappelé une parcelle de ce que tu es vraiment, et qu’ainsi tu arriveras à retrouver le chemin de ton idéal, de ta perfection, et de ton esprit complexe mais passionnant et libre. J’espère que tu arriveras à devenir ce que tu veux être, c'est-à-dire moi.
Eddie Snake

Cette lettre est très importante pour moi. Elle contient réellement le noyau heuristique de qui je suis. Il m'arrive de la relire régulièrement lorsque je vais mal, lorsque j'ai l'impression de me perdre. Contrairement aux précautions que je prends dans cette lettre, avec le recul, je pense vraiment qu'elle contient l'essentiel de qui je suis, et de mes objectifs de vie (à nuancer forcément lorsqu'on rentre dans le détail). C'est presque pour moi une énigme, car rares sont mes écrits que je trouve pleinement satisfaisants et complets. 
Elle est donc très intime, vous dévoilant des choses comme mon orientation sexuelle, mais je vais au bout de la démarche que j'ai initié avec ce blog, et donc par honnêteté intellectuelle, je vous la partage.

A la semaine prochaine!

mercredi 11 avril 2018

Dissertation pour le CERN

Bonjour.

Aujourd'hui, je vous partage un texte particulier. Il s'agit d'une dissertation que j'ai écrite dans le cadre d'un concours organisé par le Lions Club. J'étais alors en terminale (en 2013), et le but du concours était un voyage en suisse d'un week-end pour visiter le CERN. Grâce à cette dissertation, j'ai eu la chance de gagner ce lot. J'ai donc pu visiter le CERN! 

Je n'ai pas l'intitulé exact du sujet de cette dissertation, mais mon introduction l'explicite assez je penser. 

Imaginons que les recherches du LHC aient démontré que le Boson de Higgs n’existe pas, mais qu’une 5e dimension influence la masse des particules. Imaginons également que l’Homme arrive à modifier les paramètres de cette dimension, c'est-à-dire à modifier la masse et le temps des 4 autres dimensions à sa guise. Quelles conséquences cela aurait-il pour notre univers ?
Dans un premier temps, voyons les conséquences que pourrait avoir une modification de masse.
D’abord, une modification de la masse pourrait permettre à l’Homme d’atteindre une vitesse proche de celle de la lumière. En effet, d’après la relativité E=mc² d’Einstein, si on réduit la masse d’un vaisseau jusqu’à ce qu’elle soit proche d’être nulle, alors l’énergie nécessaire pour propulser ce vaisseau à la vitesse de la lumière sera assez basse pour que l’Homme puisse mettre en œuvre ce genre de voyage.
Ensuite, une augmentation extrêmement importante de masse en deux points de l’univers pourrait faire une rupture dans l’espace, créant ainsi un trou de ver entre ces deux points. L’Homme pourrait alors se déplacer presque instantanément en n’importe quel point de l’univers.
Enfin, la modification de ce paramètre pourrait créer un univers parallèle. En effet, si on imagine que chaque univers obéit à des lois physiques fixes, la modification d’un paramètre par l’Homme entraînerait celui-ci immédiatement dans un univers parallèle obéissant aux nouvelles lois physiques, se désolidarisant ainsi de son univers d’origine. Cependant, le passage d’un univers à l’autre reste impossible, ou du moins périlleux car pour cela, il faudrait ouvrir un passage entre ces deux univers. Or, la rencontre de deux univers répondant à des lois physiques différentes risque de détruire les deux univers.
Donc après avoir vu les conséquences d’un changement de masse, regardons les conséquences d’un changement temporel.
Dans un second temps, voyons les conséquences que pourrait avoir une modification du temps.
D’abord, le voyage dans le temps reste complexe dans un univers. En effet, même si le voyage dans le futur reste envisageable, le voyage dans le passé reste impossible. Un voyage dans le passé créerait certainement un paradoxe temporel impossible à résoudre. Imaginons un humain décidant de retourner dans le passé pour empêcher la création de la machine temporelle. S’il y arrive, la machine temporelle ne sera pas créée. Cependant, si elle n’est pas créée, il ne pourra pas voyager dans le passé pour empêcher sa création. Ce genre de boucle temporelle empêche le voyage dans le passé et définit donc le temps dans un univers unique comme étant une dimension ayant un sens impossible à inverser.
Ensuite, imaginons qu’il existe une infinité d’univers parallèles. Lorsqu’on fait un choix, on ne choisit qu’une option. Vu que l’autre option est également envisageable, elle a forcément été choisie dans un autre endroit, c'est-à-dire dans un univers parallèle. Ainsi, à chaque fois qu’un choix se produit, il en résulte plusieurs univers parallèles correspondant chacun à une possibilité différente du choix. Si on voyage dans le passé et qu’on fait un choix différent de celui de départ, on ne modifie pas l’univers de départ, mais on passe dans l’univers parallèle correspondant à l’autre possibilité.
Donc une modification du temps vers le passé n’est possible que s’il existe une infinité d’univers parallèles.
Dans un troisième temps, voyons les conséquences des changements de ces deux paramètres pour notre univers d’origine.
D’abord, la modification de la masse permettrait des voyages à travers l’espace. L’Homme pourrait ainsi connaitre les moindres recoins de son univers et ainsi coloniser des espaces immenses voir infinis.
Ensuite, le voyage dans le passé permettrait de passer d’un univers à un autre. Cela n’aurait aucune conséquence sur notre univers, puisque les personnes modifiant leurs choix se retrouveraient dans un univers parallèle mais ne perturberaient pas les options choisies dans notre univers.
Enfin, le changement de ces deux paramètres physiques modifierait les constantes physiques de notre univers. Ainsi, le choix de modifier un paramètre physique nous entraînerait dans un nouvel univers. Si cela ne provoque rien de grave, il provoquera quand même le déplacement de l’Homme dans un nouvel univers, quittant celui d’origine.
Pour conclure, une modification de paramètres physiques, si elle n’entraîne pas un déséquilibre physique détruisant l’univers, nous désolidariserait de notre univers d’origine, vers un second univers. A part le voyage intergalactique possible, cela n’aurait pas de conséquences majeures sur notre vie et notre vision du temps. On peut donc se demander si, sans qu’on le sache, un être de notre univers nous a déjà fait passer dans un autre univers, différent de celui d’origine.

Dans ce texte, j'y développe quelques idées scientifiques farfelues, surtout sur le paragraphe traitant des changements de masse. Je n'ai pas le niveau scientifique d'avancer de telles théories, et je l'avais encore moins à l'époque. Ainsi, ces idées tiennent plus de la science-fiction.
Cependant, je trouve ce texte intéressant puisqu'il est l'occasion de poser sur papier ma vision de l'univers physique tel que je le conçois. En particulier, j'y développe ma croyance du multivers, l'explicitant avec pas mal de détails (en particulier le fait qu'elle est fondé sur l'idée qu'une issue possible d'un choix entraîne forcément l'existence d'un univers parallèle où cette issue a été choisie). C'est l'idée principale de ce texte à retenir.
Enfin, la réflexion sur les conséquences d'un changement de paramètre physique de l'univers est intéressante. Si elle a probablement une faible portée physique et philosophique, elle est un exercice de pensée très sain car assez poussé.

Dans tous les cas, ce texte m'a permis de visiter un des pôles scientifiques les plus important de la planète, ce que je n'oublierais jamais!

mercredi 4 avril 2018

Essai sur la Nature et l'Univers

Bonjour.

Voici aujourd'hui un court essai (mais un plutôt long texte) fondamental dans l'évolution de ma plus grande thèse philosophique qui s'intéresse à l'Univers et la Nature. Le voici:

Le but de ce court essai est d’expliciter une part importante de ma philosophie. Cependant, comme abordé dans ma réflexion, les mots restreignent les idées et concepts de ma pensée. Je vais cependant essayer de faire de mon mieux pour parler de ce que je ressens au plus profond de moi, même si c’est impossible. Je vais d’abord parler de ma vision de la grande unité physique, puis je vais parler de la Nature et de l’Univers comme tout, pour enfin rebondir sur une légère contradiction et sur ma façon de vivre parallèlement à ma pensée.
I) Loi de grande unité physique :
La Physique est l’explication du fonctionnement de l’Univers. Elle est régie par des lois. Mais l’Homme a incorporé à ces lois des probabilités. Ainsi, ce que l’Homme ne peut prévoir exactement, il en calcule la probabilité. Un exemple de cela est la physique quantique : ne pouvant prévoir exactement par quelle fente passe un photon, et ne pouvant prévoir sa trajectoire exacte, l’Homme contourne le problème en calculant une probabilité. Je tiens juste à préciser qu'à l'époque, je ne comprenais pas les petites notions de physique quantique que j'avais. Avec le recul, si ce que je dis reste applicable au hasard de la physique macroscopique, le hasard existe intrinsèquement dans la physique quantique, mais devient une loi physique telle que vue dans ce texte.
Je ne crois pas aux probabilités absolues. Je pense que derrière chaque probabilité se cache une loi physique tellement fine qu’on ne la connait pas. Ainsi, l’absence de connaissances exactes est camouflée par un concept probabiliste. On peut facilement en conclure que l’Univers entier est uniquement basé sur des lois physiques complexes régissant chaque infime partie de son tout. On peut également en arriver à penser que l’Univers est contrôlé par une loi unique, complexe et expliquant chaque chose : la loi de grande unité.
Philosophiquement, cette loi est extrêmement intéressante car cela signifierait que chaque infime portion de l’Univers aurait un chemin parfaitement tracé et exacte. Chaque partie, de la plus minuscule à la plus immense, irait dans un sens, et pas dans un autre. Cela voudrait dire qu’une particule a une trajectoire et une existence très précise. Cela veut aussi dire que les galaxies interagissent de manière logique et prévisible. Enfin, notre pensée est entièrement créée par cette loi : nous pensons à une chose car la loi fait en sorte qu’à un instant t, les conditions physiques sont réunies pour qu’un certain enchaînement de réactions chimiques et électriques se produise et forment une pensée.
On peut en conclure que ma pensée m’est dictée par la loi de grande unité, ainsi que votre pensée en lisant ces lignes. Tout doit arriver et arrive comme il doit arriver. Si un jour quelqu’un arrive à connaitre cette loi, et à prédire une chose, la loi aura voulut ce calcul et le fait qu’une personne connaisse le futur n’y change rien. Ce qu’il a vu se produira (sauf s’il a commis une erreur), et son action ne pourra l’empêcher car elle sera déterminée par la loi.
Ainsi, on peut se demander quel est le but de l’Univers, après avoir pensé son fonctionnement.
II) La Nature, l’Univers :
Ainsi, l’Univers est entier déterminé par une loi, il est un tout qui lie chaque infime filament d’énergie le constituant.
Ici, je vais aborder mon concept de Nature. Pour moi, la Nature représente l’état de pensée et d’existence de l’Univers, du tout, de tout ce qu’y existe et tout ce qui est. L’Univers dans le sens large : pas seulement le notre, mais tout ce qui existe et qui suit la loi de grande unité (multivers, autres dimensions, etc…). La Nature est donc l’état de « pensée » de l’Univers, elle représente le tout philosophique. Elle relie chaque chose dans l’existence et fait que ce qui existe existe, et dans la manière dont il existe.
Tout est relié à la Nature. Comme pensé avant, tout est vivant et donc tout « pense » selon la Nature, dans le même sens et la même profondeur. Cet instinct fait que chaque chose de l’Univers est où il doit être. Il existe parce qu’il doit exister.
Seul l’Homme est en dehors de ce magnifique tout qu’est la Nature et l’unicité de pensée qui harmonise chaque infime ou immense chose de l’Univers. En effet, seul l’Homme pense comme il pense. Il voit les choses, la Nature et l’Univers, différents de lui, alors que pourtant tout forme un tout. Seul l’Homme a perdu son instinct. Il cherche à comprendre ce qu’il ne peut même pas imaginer.
Car en effet, la Nature est l’existence même, et dans sa « pensée, il n’y a que l’absolue : les choses sont car elles sont et elles doivent être. La Nature est instinctive et immédiate. Chaque chose, par sa pensée unique et naturelle, ne pense pas, dans la définition humaine de la pensée. En effet, la Nature et l’Univers ne cherchent pas de but ni de direction, car guidés par la Nature, ils sont et font sans penser humainement. Ils sont et font car ils doivent. L’existence même est le but. La plus belle démonstration de cet état absolu est l’animal, qui vit selon son instinct. Il agit car quelque chose de plus fort que lui le fait agir : la Nature. Il est car il doit être. Il fait donc partie du tout, de la Nature. Cet état de totale libération psychique, et de transcendance naturelle et instinctive est inconnu pour l’Homme (j’ai la chance de l’avoir connu, et de connaitre le chemin pour retrouver cet état). Ainsi, par son émancipation de la Nature, l’Homme a gagné en incompréhension, car il cherche à comprendre. Or, la Nature ne se comprend pas, elle se ressent. Toute la pensée de l’Homme est absurde, et pour retrouver le tout et l’harmonie, l’instinct naturel, l’Homme doit abandonner sa pensée absurde et humaine.
Cependant, une légère contradiction vient nuancer cette vérité, et vient montrer que la philosophie a plusieurs niveaux de vie.
III) Niveaux de philosophie :
En effet, l’Homme ne partage pas la pensée de la Nature de l’Univers et du tout. Cependant, comme toute chose, il est régit par la loi de grande unité. On peut donc trouver cela bizarre. En effet, s’il est régit par la loi de grande unité, donc par l’Univers, comment se fait-il que sa pensée ne corresponde pas à la Nature ?
Une réponse simple à ce problème est le fait que la vérité est dans la Nature, et que la loi de grande unité reste un concept, une explication humaine. De plus, il se peut même que la loi ait prévu que l’Homme sorte de la Nature par sa pensée chimiquement et contradictoirement dans l’Univers. L’Homme est composé de particule du tout, mais n’est pas dans le tout. Il est donc une aberration.
Une autre explication est juste le fait qu’il y a plusieurs niveaux de philosophie. En effet, on ne peut pas vivre selon la philosophie. Si on vivait selon nos idées, ou même la vérité (la Nature), on ne pourrait pas vivre dans notre monde, ni même dans l’Univers. Notre survie vient donc de notre capacité à faire des niveaux de philosophie : plus le niveau est proche de la vérité, plus ses répercutions sur notre vie sont faibles. Ce qui nous permet de vivre parmi les Hommes sans déprimer ni sortir de l’humanité nous faisant vivre. On peut vivre même sachant la vérité. Il le faut, ne serait-ce que pour continuer à penser et se rapprocher de la vérité. Il faut jouer le jeu de l’humanité pour vivre, et se rapprocher philosophiquement de la Nature.
Conclusion :
La finalité de cet essai est simple : la Nature est instinctive, et l’Homme est le seul être hors de la Nature par sa pensée. Mais pour survivre, il doit jouer le jeu de l’humanité, en essayant cependant de retrouver la Nature.
Mais comme toujours, cet essai ne peut pas représenter l’intégralité de ce que je ressens. 3 choses peuvent vous permettre de l’approcher :
_ débattre avec moi,
_ écouter la musique que je fais ou qui me correspond, car la musique est le langage de mon esprit et de mes sentiments, c’est l’unique moyen d’exprimer réellement ce que je ressens,
_ essayer de ne pas comprendre mais de ressentir la Nature instinctive de la vérité.
Cela m’a permis de trouver ma place dans l’Univers et, différent des hommes, j’arrive à ressentir la Nature.

Ce texte est un pilier majeur de mon oeuvre philosophique. Je le trouve assez explicite, je ne le développerais donc pas plus, surtout que des textes plus récents se basent sur lui pour continuer de développer ma thèse de la Nature.