mercredi 6 juin 2018

Idées politiques et économiques

Bonjour.

Je vous partage aujourd'hui un court texte engagé, qui vous présente mes convictions sociétales. Je l'ai écrit il y a longtemps, d'où sa forme naïve. 


En général, je suis pour une politique humaniste qui bannit l’argent. Comme développé dans ma réflexion, je pense que l’Homme peut s’organiser socialement sans argent, juste en échangeant des services. Cela peut fonctionner uniquement si on renonce à l’idée de dette et l’idée d’être redevable. En effet, si on rend service aux autres sans attendre en retour, et si on accepte un service sans être redevable, alors tout sera possible. On comblera les réels besoins de chacun, sans argents, sans dettes. On travaillera car un service doit être rendu, et si on a besoin de quelque chose, on l’a par le travail d’un autre pour combler notre besoin. Il s’agit du principe de solidarité porté à l’extrême, aboli de l’argent.
Cependant, je ne me fais pas d’illusion : l’Homme est trop idiot et cupide pour accepter un système le rendant heureux mais sans profit ni supériorité par rapport aux autres. On peut malgré cela essayer de concilier les choses en avançant vers les droits et libertés de tous.
Par exemple, le principe du médecin chinois pourrait être applicable dans notre culture occidentale, et serait profitable à tous. En effet, nous payons notre médecin à la consultation, ce qui l’encourage à ne pas nous soigner correctement de façon à ce qu’on revienne le voir et le payer. En revanche, le principe chinois est intéressant : on paye un forfais à l’année à notre médecin. Quand on est malade, il nous soigne correctement. Pour être pragmatique, on peut même dire qu’il nous soigne du mieux qu'il peut pour travailler le moins avec le même salaire forfaitaire.

Je suis encore d'accord avec le début du texte, puisqu'il explicite des convictions utopiques que je partage toujours. Si le dernier paragraphe est utopique, il propose une solution à la nature cupide de l'Homme auquel se heurte ma vision utopique des choses. Ainsi, si j'ai renoncé à une bonté universelle de l'Homme lui permettant d'avancer vers un système juste, j'ai tout de même l'espoir de m'appuyer sur sa réelle nature afin d'améliorer le monde.
Si je n'aurais sans doute jamais le pouvoir d'améliorer les choses à un grand niveau, j'espère malgré tout y parvenir à petit échelle, ne serait-ce que par la diffusion de mes convictions et idées à travers mon art, ma réflexion et probablement ma future descendance.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire