mercredi 30 août 2017

Réflexion (préface)

Bonjour.

A partir d'aujourd'hui, je vous partage un essai philosophique que j'ai écrit en 2012. Ce texte comprenant 59 pages, je vais le partager en plusieurs fois, le publiant chapitre par chapitre. Ainsi, les semaines qui vont venir seront dédiées à cet essai relativement vieux. Les chapitres sont courts, et abordent plusieurs thèmes très différents.  Il s'agit d'un état des lieux de mes pensées à cette époque, qui ont pour la plupart bien évoluées aujourd'hui. J'en ferais la critique chapitre par chapitre. 
C'étais la première fois dans ma vie que j'essayais de mettre à l'écrit l'intégralité de mes pensées et opinions. La tâche étant bien sûr très ambitieuse, il est clair que je ne gratte ici que la surface. Mais ce texte contient malgré tout quelques idées, réflexions et méthodes de pensée intéressantes.

Commençons aujourd'hui avec la préface de cet essai.

Je ne suis qu’un adolescent (17ans) parmi beaucoup d’autre. Je vis dans un pays développé, j’ai des notions sur l’histoire du monde, je prends soin de la nature comme je le peux et je suis intégré dans cette société. Cependant, je ne peux vivre sur cette terre, regarder notre histoire, observer la nature, et m’intégrer dans notre société sans me poser des questions. Des questions existentielles sur le fonctionnement de l’humanité et sur notre sombre avenir. Je ne peux voir l’Homme sans me rendre compte de ses nombreux défauts et sans penser aux solutions simples mais rejetées à ces défauts. C’est pour ça que j’écris ce texte, pour exprimer mes idées en espérant qu’un jour, elles seront d’actualité dans le monde...
            Il s’agit donc d’une réflexion personnelle. Personne ne vous oblige à lire ceci. Donc si vous lisez ces lignes, c’est que vous êtes prêt à accepter ma réflexion. Tout ce qui suit est personnel. Je le partage car il serait idiot de garder pour soit de tels sentiments. En revanche, je ne vous demande pas d’être d’accord avec ce qui suit. Ce n’est que mon avis, mon point de vue. Respectez donc cela, si vous lisez ceci, et forgez vous votre propre opinion, sans pour autant dénaturer la mienne.
            Je vais à présent pouvoir commencer. Je vais essayer d’être le plus cohérent possible. Seulement comme dans ma tête, les idées s’enchainent, je ne peux pas contrôler ni garantir leur parfaite exactitude dans ma réflexion. En effet, ma pensée est souvent bien plus rapide que mes doigts.
            Arrêtons-nous sur cette dernière phrase, car il semble que j’ai oublié de vous prévenir d’un dernier détail… Je suis narcissique ! Donc il y a des chances pour que je parle énormément de moi. Cependant, c’est plus ou moins normal vu que je vous expose mes opinions… Il peut être intéressant de savoir d’où elles viennent ! 
Enfin bref ! Je vous disais que mes doigts ne sont pas aussi rapides que ma pensée… C’est plutôt embêtant, vu qu’il s’agit d’une réflexion !!! Egalement, il est parfois dur de parler de choses conceptuelles… Certaines idées n’ont pas de mots qui les définissent… Donc même si au plus profond de mon esprit, l’idée naît, je ne pourrais pas forcement la retranscrire comme elle est réellement.
            Mais je ferais de mon mieux. Je ferais de mon mieux pour vous retranscrire mes idées. Je ferais de mon mieux pour les « organiser »…Même si cela est impossible, car j’écris par pulsion, je ne réfléchis pas réellement…Mes doigts écrivent ce que mon esprit pense, mais ce dernier ne leur donne pas cet ordre…Ils le font spontanément, même si ils ne sont pas aussi rapide que mon esprit. Egalement, mon esprit même a un fonctionnement bizarre et incontrôlable, que je vous décrirez plus tard. Pour essayer d’organiser mon esprit, et donc cette réflexion, je vais créer des chapitres. Chaque chapitre portera sur un sujet, et sur ma réflexion à propos de ce sujet.
            Cependant, ce système comporte trois failles. La première, c’est que les sujets de ces chapitres seront choisis aléatoirement, sans liens entre eux et sans suite chronologique. Deuxièmement, ce système peut restreindre la réflexion, ce qui est l’inverse du but de ce livre. En effet, donner un sujet, c’est encadrer et emprisonner la réflexion. Le but étant de repousser les limites de la réflexion, il serait idiot de restreindre cette dernière. Mais je ferais de mon mieux pour que cela n’arrive pas. Troisièmement, et enfin, il est possible que certains sujet arrivent à la même conclusion. En effet, les petits détails les plus éloignés ont souvent la même origine.
            Par exemple, si une tartine de confiture tombe de la table, elle tombera obligatoirement sur le côté de la confiture. C’est un détail vraiment insignifiant, mais voyons son origine… Si cette tartine tombe toujours du même côté, c’est parce que la table a une hauteur bien précise, qui ne laisse pas le temps suffisant à la tartine pour lui permettre dans sa chute de faire un tour complet. Ainsi, elle fait uniquement un demi-tour. Mais la hauteur de la table est due à la hauteur de nous les hommes. Notre taille est du à une évolution longue pour atteindre l’ergonomie idéale de notre vie sur Terre. Donc la gravité est un facteur important de notre taille. La gravité de notre planète relève de l’astrophysique, domaine encore vague pour mon statut. Mais pour faire simple (d’après ce que je sais), la gravité est une des lois physiques qui régissent l’univers, qui est né dans le big-bang. Ainsi, le big-bang est à l’origine de la tartine de confiture qui tombe du « mauvais » côté, mais aussi du poisson qui nage en Chine, du serpent qui terrorise l’Afrique, du boulon qui permet à la Tour Eiffel de tenir, etc.…. Donc tous ces détails pourtant si éloignés ont une origine commune… C’est pour ça que j’ai peur que les conclusions de certains chapitres ce rejoignent. Plus on cherche loin dans l’univers, plus ont arrive à observer son origine, le big-bang. Ainsi, plus je vais aller loin dans ma réflexion, plus je risque de trouver l’origine de toutes mes idées, et ainsi de trouver mon principe philosophique premier, mon concept phare, ou encore le sens de ma vie et de mon esprit.
            Cependant, on ne sait pas ce qui a provoqué le big-bang, ni ce qu’il y avait avant… Peut-être que dans le cas de ma réflexion, j’arriverai à répondre à ces deux questions. Car je doute que tout mon esprit n'obéisse qu’à une seule règle, d’une seule cause qui entraînerait toutes ses conséquences appelées idées.

            Je vais essayer. Faire de mon mieux. Peut-être que je vais réussir à démêler toutes les conséquences de mon esprit, pour en trouver l’unique cause. Ou peut-être pas. Mais de toute façon, c’est le voyage qui compte, et pas l’arrivée. C’est la méthode qui prime sur le résultat de l’équation. Donc maintenant, je vais commencer le voyage. Je vais commencer à réfléchir sur des sujets quelconques, choisis au hasard, et essayer de creuser un maximum dans ma réflexion, d’aller le plus loin possible, et peut-être ainsi réussir à trouver des correspondances à certains sujet, à certaines idées, et donc à trouver l’arrivée du voyage. L’origine. La cause.
            Ou peut-être pas. 

Même avec le recul, je trouve cette préface très intéressante. Si elle mériterait d'être reformulée et restructurée pour être améliorée, je pense qu'elle est fonctionnelle en l'état. Elle réussi sa mission qui consiste à donner un cadre à cette réflexion, en expliquant clairement ma démarche, ma quête philosophique. Elle en donne aussi les limites, montrant mon esprit critique quant à l'exercice que j'entreprend. Même sans avoir commencé le voyage, la préface de cet essai montre une partie de mes idées et conceptions du monde qui façonnent ma réflexion. Ainsi, je n'ai pas envie d'entrer dans le détail et d'expliciter encore plus cette préface. 

Si vous voulez que je le fasse, sur des points précis ou sur tout le texte, n'hésitez pas à me le demander.

A la semaine prochaine pour le premier chapitre de Réflexion!

mercredi 23 août 2017

Théories univers

Bonjour.

Aujourd'hui, je vous propose des notes quant à la structure de notre univers. En effet, passionné par l'espace depuis ma plus petite enfance, je me suis depuis longtemps intéressé à notre univers, à sa structure, et à ses limites spatiales et temporelles. Voici donc les idées (pas développées) et bases de réflexions que j'ai formulé en début d'année 2013 sur le sujet. 

_ Multivers : à approfondir
_ Univers unique perpétuel. Deux théories alors : Big Bang, Big Crush : recommence ce qui a déjà été fait, répétition infini de l’histoire de l’univers, à l’identique. Sinon, Big bang, Big Crush : recommence la structure : lois physiques identiques mais probabilités événementielles font une suite événements différents.

Il faut donc déterminer si chaque infime partie de l’univers est réglée par des lois physiques ou si des probabilités laissent possible l’agencement événements différents.


Ce texte est accompagné d'un schéma qui en explicite le deuxième point. 




Dans ces notes, je ne développe pas la théorie du Multivers. Il s'agit cependant de ma théorie favorite, celle auquel je crois. Je l'ai donc développé dans d'autres textes que je vous présenterais plus tard.

Après avoir vu la possibilité du Big Crush (contraction de l'espace et du temps sur un point, inverse du Big Bang pour simplifier) dans une exposition parisienne au Palais de la Découverte, j'ai imaginé un univers cyclique. Cet univers commence lors d'un Big Bang, grandit puis se rétracte pour finir en Big Crush... Or, la singularité du Big Crush est identique à celle d'un Big Bang, donc l'univers, une fois contracté en un point, explose pour recommencer ce cycle à l'infini. 

La question intéressante que soulève cette théorie est la suivante: chaque cycle de l'univers est il identique ou des éléments de celui-ci changent-ils d'un cycle à l'autre ?  C'est la question que je pose en fin de notes. 

Avec le recul, il m'est évident que notre univers n'a pas cette structure. Cependant, la question sur son auto-détermination reste fondamentale. J'ai très longtemps cru (et je crois encore sur certains aspects) que l'univers est déterminable grâce à un ensemble de lois physiques pointues pas forcément encore connues de l'Homme. Avec mes nouvelles connaissances en physiques quantiques, il m’apparaît que les probabilités peuvent structurer notre univers, le rendant fluctuant, dans le sens de non-déterminable... Cependant, même les probabilités obéissent à des lois, et cette fluctuation événementielle peut entrer dans le cadre d'un déterminisme de l'univers, soit par la théorie des Multivers (que je développerais plus tard), soit grâce aux différents niveaux d'existence de la matière (non déterminable d'un point de vu particulaire, mais parfaitement tangible d'un point de vu macroscopique)... Ce genre de question demande des connaissances en physique que je n'ai pas, mais il me semble toujours intéressant d'y penser et de s'informer sur le sujet, ce que je continue de faire continuellement.

Peut-être pouvez vous trancher la question...  

mercredi 16 août 2017

Opinions politiques sur le sexe des mineurs

Bonjour.

Aujourd'hui, je vous propose un texte très court, mais assez difficile à analyser.

               Je pense que les mineurs, à partir du moment où leur corps peut procréer (1e éjaculation pour les garçons, 1e règles pour les filles), doivent avoir le droit d’avoir des rapports sexuels et de jouir pleinement de leur corps. C’est pourquoi je suis en faveur d’instaurer un certificat médical qui garantit à ces mineurs ce droit.
               Cependant, pour éviter des problèmes comme le détournement de mineurs, je propose que les mineurs ne puissent coucher qu’avec d’autres mineurs. Pour pouvoir coucher avec un majeur, il faut une autorisation donnée par l’Etat, et signée par le mineur et le majeur concernés, ainsi que par 2 témoins minimum.
               Enfin, à partir de ce certificat, les mineurs doivent avoir le droit de regarder du porno. Je pense même qu’il devrait exister du porno entre mineurs ayant reçu ce certificat. 

J'ai écrit ce texte alors que j'étais mineur. Avec le recul, je ne suis d'accord avec presque rien de ces opinions! 

Le sexe n'est en effet pas si simple. Chaque individu étant très différent, surtout quand il s'agit de la sexualité, il est difficile d'établir une règle pouvant convenir à tous. L'objectif est donc de proposer une règle permettant à chacun d'être libre de jouir de son corps et de sa sexualité comme il l'entend...

A l'époque déjà, j'étais à l'aise avec la sexualité. Malgré mon relatif jeune âge, j'étais curieux, et je ne supportais pas les tabous qui pour moi ne pouvaient apporter que des complexes. Je reste d'ailleurs convaincu que la connaissance est la meilleure arme contre le malaise, surtout en terme de sexualité. C'est pourquoi je reste convaincu que des adolescents ayant un corps près à copuler devraient pouvoir avoir accès à toutes les informations dont ils ont besoin sur le sexe. Certes, avec le recul, le porno n'est pas la solution, car il est très éloigné de la réalité. Je pense quand même qu'il devrait être accessible aux mineurs, en insistant malgré tout sur la part de faux en son sein.

En ce qui concerne l'idée d'un certificat de l'Etat, elle ne me parait plus bonne... Il est clair qu'avec le recul du à mon âge, l'idée d'adulte couchant avec des mineurs m'est maintenant inconfortable... Comme l'idée de porno mineur, ce qui serait vraiment très malsain. De plus, l'idée d'autorisations par l'Etat est vraiment absurde, et n'empêchera jamais les problèmes qu'elle est sensée éviter. 

L'idée cependant intéressante de ce texte reste l'absurdité de l'âge légal de 18 ans. Chaque individu étant différent et évoluant à des rythmes différents, il me parait stupide d'avoir une limite commune à tous. Ainsi, l'idée de baser la loi sur une étape de l'évolution, que chacun peut passer à des âges différents, me semble encore être une relativement bonne idée (même si elle est à retravailler). 

Egalement, ce texte reflète l'importance de l'évolution des opinions avec l'âge. En quelques années, mon avis a énormément changé sur le sujet. Devenant adulte, j'ai compris l'importance de protéger les plus jeunes adolescents face aux tromperies du monde adulte qui peuvent exister dans le sexe... Si une limite universelle n'est pas parfaite, elle a le mérite de protéger ceux qui en ont besoin. De plus, il est clair que si notre corps est prêt à procréer, notre esprit ne l'est peut être pas. Ainsi, je reste convaincu que chacun doit avancer à son rythme sans aucune pression, mais en toute connaissance de ce qui existe, d'où les idées certes malvenues de ce texte ancien.

Et vous, quelles sont vos opinions sur le sujet ? 

mercredi 9 août 2017

Principe des cycles de pensée

Bonjour.

Aujourd'hui, voici un texte que j'ai écrit il y a longtemps. Il essaie de comprendre l'évolution de la pensée d'un Homme, par rapport à sa vie.

               L’Homme évolue. En effet, il passe par différentes phases tout au long de sa vie. Ces phases de vie correspondent à des cycles de pensée d’environ 7 ans :
_ 0 à 7 ans : petite enfance : pas de pensées réelles, juste perception du monde et des dangers.
_7 à 14 ans : enfance : découverte du monde par la pensée, passant par un important questionnement.
_14 à 21 ans : adolescence : remise en cause du monde par l’aboutissement de raisonnements de la pensée.
_ 21 à 28 ans : jeune adulte : transition entre la pensée personnelle rebelle et le formatage de pensée de la société passant par la responsabilisation.
_ 28 ans à ?? : adulte : pensées communes car formatées par la société.

(Je ne connais pas encore les autres cycles car je ne les ais ni atteint ni entrevu. Peut-être que l’Homme s’arrête au cycle adulte).

               Ainsi, l’adolescence est l’âge parfait de la réflexion et de la création artistique car la culture maternelle n’a pas encore totalement formaté l’individu mais la culture personnelle lui permet de remettre la culture maternelle en question. Ainsi, l’adolescence, qui est l’âge de rébellion, permet d’accéder à la vérité à travers la rébellion vu que le formatage de la société n’a pas encore eu lieu.
               Cependant, ces cycles ne sont pas fatals. En effet, si on résiste mentalement en se donnant une ligne de pensée, on peut stagner dans un cycle.
               C’est ce que j’espère réussir, pour garder intact mes pensées artistiques, mon inspiration, et donc continuer mon œuvre artistique et philosophique.


               Age d’or de l’activité neuronale chez l’être humain : 17 ans. Encore une preuve que l’adolescence est l’apogée de l’esprit humain, de la création artistique, de la compréhension du monde et de la quête de vérité. 

J'ai écrit ce texte alors que j'étais dans le 3e cycle de pensée. Avec le recul, il me semble évident que l'évolution de la psychologie d'un Homme ne peut pas être si simple... Cependant, si les limites de ces cycles sont peut être plus floues et dépendent des individus, il ne me semble pas qu'ils sont complètement faux. Dans tous les cas, il s'agit des cycles que j'ai approximativement vécus (même si je me bats toujours pour ne pas me faire formater par la société moderne alors que je suis dans le 4e cycle).

Ce texte montre bien mon état d'esprit rebelle face au monde moderne dans lequel je vis. Même si aujourd'hui je suis plus réfléchis qu'à l'époque, j'ai gardé de cette fougue adolescente un esprit critique fort. Remettre en question ce qui nous entoure me semble essentiel, et je me bats pour garder un esprit vif et indépendant, comme l'était mon objectif dans ce texte. 

Enfin, ce texte montre quelques éléments fondamentaux de mes écrits philosophiques: la rébellion, la méfiance envers la société moderne, la quête de la vérité, la compréhension du monde qui nous entoure par son analyse.

Et vous, dans quel cycle de pensée êtes vous ? 

mercredi 2 août 2017

Principe des correspondances temporelles

Bonjour.

Ce texte vous donne une réflexion que j'ai eu sur le Temps. En effet, cet élément de l'existence est une notion qui m'a beaucoup fait penser. 

Le temps est la 4e dimension de l’univers. 
Cependant, l’Homme ne perçoit pas le temps comme tel : l’Homme perçoit le temps uniquement grâce à l’évolution de l’univers. Pour l’Homme, le temps est une évolution. Cela vient du fait que l’Homme n’a pas d’organe pour percevoir le temps : il est obligé de le déduire de ses autres perceptions. C’est donc la pensée qui permet à l’Homme de percevoir le temps.
En effet,  la pensée est ce qui permet de faire des correspondances temporelles dans la mémoire. On ne se souvient pas d’un moment, mais de ce à quoi on pensait à ce moment. Ainsi, plus on pense, plus le temps semblera long, et inversement. C’est ce principe qui explique que le temps passe plus lentement quand on s’ennui : vu qu’on ne fait rien, on a tendance à plus réfléchir et penser, donc le temps passe plus lentement.
De plus, ce principe permet de figer mentalement le temps. En effet, en pensant extrêmement fort à un événement futur, ce dernier ne se produit pas et reste à la même distance temporelle du présent, donc notre perception du temps en reste presque figé.
Enfin, ce principe permet des correspondances temporelles. Avec de la concentration, on peut arriver à faire un voyage temporelle de la pensée. En effet, si on pense très fort à un événement futur et au sentiment qu’il nous procurera, puis le moment venu si on pense très fort au moment présent et au sentiment qu’il nous procure, et si enfin après, on pense très fort à l’événement qu’on a vécu, et au sentiment qu’il nous a procuré, et si ces sentiments étaient les mêmes, alors la pensée se retrouve reliée dans le temps et on peut mentalement se projeter dans n’importe lequel de ces moments de pensées. 

Ce texte, s'il présente encore quelques inexactitudes philosophiques quant à la notion compliquée du Temps, montre le lien fort entre celui-ci et la pensée. Surtout, il montre qu'il est manipulable, grâce à ce lien fort. Les exemples que je donne ici sont des expériences de pensée que j'ai réalisé. 

Avez-vous essayé de les expérimenté ? N'hésitez pas à partager vos expériences temporelles...